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Les dévoilements simples
( Strip-Tease)

Les dévoilements simples explore le Strip‐Tease comme geste de dévoilement, de fragilité, de mue, de libération et de beauté en 32 courts tableaux muets sur les Variations Golberg de J.S.Bach. Nous avons, pour cette création, distillé les modes de représentations pour nous concentrer sur la présence simple et fragile d’un être sur scène. 

Nous avons exploité la nudité dans une idée de vulnérabilité plus que de provocation; pour la poésie du geste de se dénuder. Les performeurs se mettent à nu partiellement ou intégralement, mais toujours dans l’idée de dévoiler une partie de leur âme, avec simplicité, fragilité et amusement . Nous avons mis l’accent sur la poésie des corps, des êtres, comme de courts haïkus muets déployés dans l’espace. 

«Les acteurs et le metteur en scène ont pu créer les scénettes surprenantes de cette pièce en s’inspirant de leurs confidences à propos de moments intimes qui ont été par la suite poétisés. Sur les planches, il en ressort quelque chose de vulnérable et de sincère interprétant les multiples facettes de la notion de dévoilement. »

Roxane Chouinard, Les Méconnus, 2015

«Quelque chose de pur s’en dégage: comme dans un tableau racontant la genèse de l’humanité, ou le rapport vif et naturel de l’humain avec son environnement et avec lui-même. C’est beau. À la fois esthétiquement léché et hyper-léger, pour ne pas dire candide.»

Philippe Couture, Voir, 2015

«Félix-Antoine Boutin nous parle ici de la simplicité volontaire des corps en dehors des préjugés, des clichés sociaux, sexuels et autres. Il recrée, chaque soir différemment, un certain Éden des possibles.»

Mario Cloutier, La Presse, 2015

«. Quel bonheur, dans une société où la nudité est le plus souvent ostentatoire et marchande, de la voir redevenir un don, une offrande, un partage, la célébration d’un lien, le gage d’une authenticité, d’une franchise, d’une précieuse honnêteté !»

Christian St-Pierre, Le Devoir, 2015

D'après Les Variations Golberg de J.S. Bach

Mise en scène : Félix-Antoine Boutin 


Scénographie : Machine - Design appliqué


Lumière : Vincent De Repentigny

Conseillère dramaturgique: Nadège Grebmeier Forget

Performeurs : Philippe Boutin, Jérémie Desbiens, Rasili Botz, Catherine-Audrey Lachapelle, Emmanuelle Boileau, Alexa-Jeanne Dubé, Guillaume Lambert, Sara-Ève Grant-Lefebvre, Samuel Brassard, Jérémie Desbiens, Dustin Segura Suarez, Alex Trahan, Patrick R. Lacharité, Patricia Larivière et Marianne Dansereau.

Ce spectacle a été diffusé au Théâtre La Chapelle.

Crédit Photo: Nans Bortuzzo et Antoine Larochelle

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